CAC 40 Perf Jour Perf Ytd
8170.09 -0.76% +10.69%
DIVERSIFIÉS / FLEXIBLES Perf. YTD
SRI
ACTIONS Perf. YTD
Pour en savoir plus, cliquez sur un fonds
CM-AM Global Gold 95.32%
Jupiter Financial Innovation 24.37%
Piquemal Houghton Global Equities 22.58%
GemEquity 22.47%
Aperture European Innovation 21.47%
Digital Stars Europe 19.24%
Candriam Equities L Robotics & Innovative Technology 18.61%
R-co Thematic Blockchain Global Equity 16.85%
Sienna Actions Bas Carbone 16.64%
Echiquier Artificial Intelligence Grand Prix de la Finance 16.63%
Carmignac Investissement Grand Prix de la Finance 15.60%
Candriam Equities L Oncology 15.28%
Auris Gravity US Equity Fund 13.53%
HMG Globetrotter 13.03%
Sycomore Sustainable Tech 10.97%
Athymis Industrie 4.0 10.78%
AXA Aedificandi 10.30%
Square Megatrends Champions 9.90%
Groupama Global Disruption 9.90%
Groupama Global Active Equity 9.23%
Fidelity Global Technology 8.85%
R-co Thematic Real Estate 8.68%
FTGF ClearBridge Infrastructure Value 8.45%
BNP Paribas Funds Disruptive Technology 8.38%
EdRS Global Resilience 8.33%
Pictet - Clean Energy Transition Grand Prix de la Finance 7.43%
GIS Sycomore Ageing Population 6.96%
Sienna Actions Internationales 6.47%
Eurizon Fund Equity Innovation 6.23%
Franklin Technology Fund 5.98%
ODDO BHF Artificial Intelligence 5.45%
EdR Fund Big Data Grand Prix de la Finance 5.42%
Echiquier World Equity Growth Grand Prix de la Finance 5.03%
Pictet - Digital 4.41%
Thematics AI and Robotics 4.00%
DNCA Invest Beyond Semperosa 3.86%
CPR Invest Climate Action 3.64%
Russell Inv. World Equity Fund 3.59%
Janus Henderson Horizon Global Sustainable Equity Fund 3.21%
Palatine Amérique 3.17%
JPMorgan Funds - US Technology 3.14%
Mandarine Global Transition 3.05%
JPMorgan Funds - Global Dividend 2.67%
Covéa Ruptures 2.63%
Sanso Smart Climate Grand Prix de la Finance 2.42%
Echiquier Global Tech 1.41%
Claresco USA 1.14%
Mirova Global Sustainable Equity 0.97%
BNP Paribas Aqua Grand Prix de la Finance 0.78%
Covéa Actions Monde 0.22%
Comgest Monde Grand Prix de la Finance -0.21%
M&G (Lux) Global Listed Infrastructure Fund Grand Prix de la Finance -0.58%
Thematics Water -0.68%
Ofi Invest Grandes Marques -0.73%
Loomis Sayles U.S. Growth Equity -1.87%
CPR Global Disruptive Opportunities -2.12%
M&G (Lux) Global Dividend Fund -2.24%
MS INVF Global Opportunity -2.30%
EdR Fund Healthcare -2.38%
Pictet - Water Grand Prix de la Finance -3.26%
AXA WF Robotech -3.56%
JPMorgan Funds - America Equity -3.76%
BNP Paribas US Small Cap -3.95%
ODDO BHF Global Equity Stars -4.99%
Thematics Meta -5.54%
Athymis Millennial -5.87%
Franklin U.S. Opportunities Fund -5.96%
FTGF Royce US Small Cap Opportunity Fund -6.16%
Pictet - Security -7.12%
MS INVF Global Brands -12.65%
Franklin India Fund -13.44%
PERFORMANCE ABSOLUE Perf. YTD
SRI

Positionnement du fonds «M&G Global Macro Bond Fund»

 

Sous la forme de questions et réponses, ce document présente les tout derniers points de vue de Jim Leaviss et Mike Riddell, le gérant et le gérant adjoint du fonds M&G Global Macro Bond Fund. Les points abordés incluent notamment leurs anticipations concernant la politique monétaire américaine, la surexposition persistante du fonds au dollar et leur prudence, à l'heure actuelle, à l'égard des obligations à haut rendement et des marchés émergents.
 


Selon vous, quand la Banque centrale américaine va-t-elle commencer à réduire son programme d’assouplissement quantitatif (QE) ?


Nous pensons que la réduction du QE n'interviendra qu'en 2014, et ce, pour trois principales raisons : l'impact négatif de la récente paralysie du gouvernement sur la croissance actuelle du produit intérieur brut (PIB), la sensibilité des taux hypothécaires à la hausse des rendements obligataires et l'extrême faiblesse de l'inflation outre-Atlantique. Les estimations du coup de frein sur le PIB au quatrième trimestre résultant de la paralysie du gouvernement vont de 0,25 % selon l'État américain à près de 0,6 % selon le marché. Bien qu'il soit encore difficile d'en évaluer l'impact exact à ce stade, une chose est sûre : la croissance va se révéler inférieure à celle initialement prévue. Dans la mesure où aucune solution plus pérenne n'a été trouvée, les États-Unis seront à nouveau confrontés à cette même question au début de l'année prochaine.
 

En ce qui concerne l'inflation, la mesure des dépenses de consommation privée, indicateur préféré de la Réserve fédérale (Fed), n'a cessé de ralentir durant les derniers mois pour s'établir aux environs de 1 %. La baisse des prix des matières premières et la faiblesse de la croissance des salaires ont notamment contribué à cette décélération de l'inflation. Par rapport au taux cible de 2 % de la Fed, un resserrement de la politique monétaire ne se justifie donc pas dans le contexte actuel.


De plus, un redressement durable du marché immobilier résidentiel est d'une importance cruciale pour la reprise de l'économie américaine au sens large. L'activité dans le secteur immobilier résidentiel a des effets multiplicateurs puissants sur la consommation et l'emploi. Un durcissement prématuré des conditions monétaires risquerait de voir ce moteur être bridé par la hausse des taux hypothécaires. La sensibilité des taux hypothécaires à une réduction du QE est d'ailleurs manifeste à la lumière de ce qui s'est passé cet été. Lorsque la possibilité d'une baisse du montant des achats d'actifs a été évoquée par les autorités monétaires, les rendements des emprunts d'État américains ont augmenté de 100 points de base en juin et cette hausse a impacté directement le taux hypothécaire à 30 ans.


Il existe une grande incertitude entourant le coup d'envoi de la réduction de la voilure du QE, mais ce dernier pourrait bien intervenir vers le premier trimestre 2014 en fonction des chiffres de la croissance. Si cela se produit, convient de ne pas oublier que moins de relance ne signifie pas pour autant plus de relance du tout. Le relèvement des taux d'intérêt a quant à lui toutes les chances de n'intervenir que bien après.
 

 

Quelle est votre position à l'égard des rendements des emprunts d'État dans cet environnement ?


Le fonds avait une duration extrêmement courte l'an passé et au début de cette année. Nous estimions à cette époque, compte tenu des rendements des emprunts d'État dits « refuges », que le marché se montrait beaucoup trop détendu à l'égard de l'amélioration constante des statistiques économiques outre-Atlantique. La duration du portefeuille était de l'ordre de 2,3 ans juste avant la correction généralisée des marchés obligataires en mai, un niveau substantiellement inférieur à la moyenne des fonds obligataires internationaux et qui a sensiblement aidé le portefeuille durant cette correction. Nous avons accru la duration en la portant à 3,6 ans à la fin juin et à 4,7 ans à la fin juillet après que les valorisations aient retrouvé des niveaux plus attractifs.


L'ampleur de la correction a semblé disproportionnée et, en règle générale, nous nous sommes tournés vers les segments à 5 et 10 ans de la courbe où se trouvaient, de notre point de vue, les meilleures opportunités de valeur relative. Ce positionnement a été conservé jusqu'à une date récente, à partir de laquelle nous avons commencé à réduire à nouveau la duration. Les emprunts d’État commencent à apparaître légèrement plus vulnérables suite au fort rebond intervenu après la décision de la Fed, en septembre, de ne pas réduire le montant de ses achats d'actifs.

 

Où identifiez-vous actuellement des opportunités sur les marchés obligataires ?


Nous continuons de préférer les obligations d’entreprises « investment grade » aux emprunts d’État, tandis que nous nous montrons plus méfiant à l'égard des valorisations des obligations à haut rendement. Le rendement supplémentaire des obligations « investment grade » par rapport aux emprunts d'État demeure relativement intéressant et nous pensons toujours que les investisseurs sont plus que rémunérés pour le risque de défaut. Nous marquons une préférence pour les émetteurs industriels européens et sommes exposés aux établissements financiers américains qui apparaissent en meilleure santé qu'en Europe.


Parmi les obligations d’entreprises « investment grade », le segment noté BBB nous semble être le plus attractif. Ce segment appartient toujours à la catégorie « investment grade » et les sociétés accompagnées de cette notation restent généralement de très grande qualité. Le différentiel historique entre le risque de défaut d'une entreprise notée A et d'une entreprise notée BBB est extrêmement minime et nous pensons que le rendement supplémentaire de 0,8 % offert par un investissement dans un titre noté BBB plutôt que A justifie le plus grand risque pris.
 

 

Pourquoi vous montrez-vous prudents à l'égard du segment à haut rendement ?


Nous sommes tout particulièrement prudents vis-à-vis du marché américain des obligations à haut rendement. Nous avons d'ailleurs allégé l'exposition du fonds à cette classe d’actifs. Elle est désormais quasiment nulle. Ce positionnement s'explique essentiellement par le niveau élevé des valorisations ; les spreads par rapport aux obligations « investment grade » se sont contractés et sont désormais particulièrement restreints aux États-Unis. En Europe, ces obligations apparaissent plus intéressantes, sans pour autant être bon marché.


Beaucoup de capitaux ont été investis dans les obligations américaines à haut rendement sur fond de croissance de l'économie, mais il nous faut encore voir s'ils vont y rester. Certaines émissions aux valorisations peu attractives par des sociétés notées CCC ont également profité de la quête de rendements des investisseurs. De plus, l'augmentation de l'endettement et des opérations de fusions-acquisitions aux États-Unis risque de menacer les métriques de crédit des émetteurs américains à haut rendement. C'est pourquoi nous ne conservons qu'une exposition de l'ordre de 9 % aux obligations à haut rendement, surtout via des entreprises appartenant aux principaux pays européens.

Pour les tout derniers points de vue sur la dette des marchés émergents, veuillez vous reporter à l'article “Will the Fed push EM over the edge?” de Mike Riddell du 29 octobre 2013 sur www.bondvigilantes.com
 

 

Quelle est votre opinion actuelle sur la dette des marchés émergents ?


Nous demeurons très préoccupés par les marchés émergents et avons systématiquement affirmé que la plus grande bulle obligataire se formait au sein de la dette émergente. Depuis un certain temps maintenant, nos sources de préoccupation sont l'explosion des flux de portefeuille prenant la direction des marchés émergents, l'amélioration des perspectives du dollar américain et le caractère historiquement tendu des valorisations.


Plus récemment, nous sommes devenus encore plus inquiets suite à la détérioration des fondamentaux des pays émergents. Plusieurs pays émergents accusent des niveaux de déficit de leurs balances des opérations courantes qu'il nous avait été donné d'observer tout juste avant l'éclatement de crises dans les pays émergents. C'est dire que la vulnérabilité de ces pays est extrêmement importante. Si les flux de portefeuille devaient s'interrompre ou s'inverser, certains pays encourraient alors un vrai risque de crises de change ou bancaires. L'effet de contagion serait probablement rapide en raison, par exemple, de gérants de fonds se voyant être contraints de vendre afin de répondre aux demandes de rachat.


Les valorisations de la dette des marchés émergents ont commencé à apparaître quelque peu plus attractives en juillet 2013, raison pour laquelle nous avons légèrement renforcé notre exposition aux obligations et aux devises. Mais, la classe d’actifs a regagné près de la moitié du terrain perdu entre les mois de mai et de juillet et les valorisations apparaissent à nouveau élevées. Dans ce contexte, le fonds possède actuellement une exposition minimale aux marchés obligataires émergents.

 

Pour en savoir plus sur la performance des fonds, cliquer-ici

Autres articles

ACTIONS PEA Perf. YTD
Pour en savoir plus, cliquez sur un fonds
Axiom European Banks Equity Grand Prix de la Finance 55.59%
Alken Fund Small Cap Europe 51.52%
Indépendance Europe Small Grand Prix de la Finance 40.41%
Tailor Actions Avenir ISR 31.59%
Tocqueville Value Euro ISR 30.13%
JPMorgan Euroland Dynamic 26.49%
Groupama Opportunities Europe 25.27%
Moneta Multi Caps Grand Prix de la Finance 24.01%
Uzès WWW Perf 23.22%
IDE Dynamic Euro 22.07%
BDL Convictions Grand Prix de la Finance 21.85%
Tocqueville Euro Equity ISR 18.80%
Ecofi Smart Transition 18.17%
Quadrige France Smallcaps 18.03%
Indépendance France Small & Mid Grand Prix de la Finance 17.86%
R-co 4Change Net Zero Equity Euro 17.35%
VALBOA Engagement ISR 15.32%
Tikehau European Sovereignty 15.29%
DNCA Invest Archer Mid-Cap Europe 14.41%
Sycomore Sélection Responsable 14.40%
EdR SICAV Tricolore Convictions 13.81%
Mandarine Premium Europe 13.65%
Covéa Perspectives Entreprises 13.45%
Sycomore Europe Happy @ Work 12.23%
Europe Income Family 12.08%
Lazard Small Caps Euro 11.28%
Mandarine Europe Microcap 10.10%
ADS Venn Collective Alpha Europe 9.91%
Fidelity Europe 9.86%
Groupama Avenir PME Europe 9.31%
Mirova Europe Environmental Equity 8.43%
Gay-Lussac Microcaps Europe 7.48%
Norden SRI 6.84%
HMG Découvertes 6.48%
Tocqueville Croissance Euro ISR 6.04%
VEGA France Opportunités ISR 5.92%
Mandarine Unique 5.83%
ELEVA Leaders Small & Mid Cap Europe 5.55%
Dorval Drivers Europe 5.28%
VEGA Europe Convictions ISR 4.49%
CPR Croissance Dynamique 4.32%
LFR Euro Développement Durable ISR 4.07%
Echiquier Agenor SRI Mid Cap Europe Grand Prix de la Finance 2.10%
Amplegest Pricing Power Grand Prix de la Finance 1.57%
Echiquier Major SRI Growth Europe Grand Prix de la Finance -3.48%
Eiffel Nova Europe ISR -4.56%
DNCA Invest SRI Norden Europe -6.30%
ADS Venn Collective Alpha US -7.89%
OBLIGATIONS Perf. YTD
Pour en savoir plus, cliquez sur un fonds
H2O Multibonds Grand Prix de la Finance 28.12%
Axiom Emerging Markets Corporate Bonds 7.05%
IVO Global High Yield 6.47%
Carmignac Portfolio Credit 6.27%
IVO EM Corporate Debt UCITS 6.17%
Axiom Obligataire Grand Prix de la Finance 6.04%
Lazard Credit Fi SRI 5.48%
LO Fallen Angels 5.44%
IVO EM Corporate Debt Short Duration SRI 5.32%
Income Euro Sélection 5.14%
Omnibond 4.97%
EdR SICAV Financial Bonds 4.91%
Lazard Credit Opportunities 4.91%
Jupiter Dynamic Bond 4.90%
FTGF Brandywine Global Income Optimiser Fund 4.78%
Schelcher Global Yield 2028 4.55%
Axiom Short Duration Bond 4.51%
DNCA Invest Credit Conviction 4.50%
La Française Credit Innovation 4.24%
Tikehau European High Yield 4.08%
EdR SICAV Short Duration Credit 3.93%
Ofi Invest High Yield 2029 3.92%
Ostrum SRI Crossover 3.83%
Alken Fund Income Opportunities 3.81%
R-co Conviction Credit Euro 3.79%
Hugau Obli 1-3 3.60%
Ofi Invest Alpha Yield 3.55%
BNY Mellon Global Short-Dated High Yield Bond Fund (EUR) 3.51%
Hugau Obli 3-5 3.47%
La Française Rendement Global 2028 3.45%
Tikehau 2029 3.42%
Auris Investment Grade 3.41%
M All Weather Bonds 3.32%
Pluvalca Credit Opportunities 2028 3.29%
Tikehau 2027 3.28%
EdR SICAV Millesima 2030 3.22%
SLF (F) Opportunité High Yield 2028 3.02%
Tailor Crédit Rendement Cible 2.97%
Auris Euro Rendement 2.84%
Tailor Credit 2028 2.77%
EdR Fund Bond Allocation 2.75%
Eiffel Rendement 2028 2.60%
Mandarine Credit Opportunities 1.99%
LO Funds - Short-Term Money Market CHF 1.74%
Sanso Short Duration 1.52%
Epsilon Euro Bond 1.40%
AXA IM FIIS US Short Duration High Yield -6.12%
Amundi Cash USD -7.38%
Goldman Sachs Yen Liquid Reserves Fund Institutional -9.14%